La découverte du plus gros trou noir stellaire de notre galaxie fait pschitt !
En novembre 2019, des chercheurs chinois pensaient avoir découvert le plus gros trou noir stellaire de notre galaxie. Cette découverte posait des problèmes théoriques qui laissaient perplexes de nombreux scientifiques. Une nouvelle étude publiée dans Nature vient contredire son existence et apporte une explication qui colle aux modèles théoriques. Ce cas montre également toute la complexité de l’astrophysique. L’étude a été relayée dans un nouveau podcast sur le site ça se passe là-haut :
Extrait : En novembre dernier, nous avions parlé de la découverte du plus gros trou noir stellaire dans notre galaxie, avec une masse estimée à 68 masses solaires, étude publiée dans la fameuse revue Nature et qui avait fait grand bruit de par les problèmes théoriques qu’il posait. Mais aujourd’hui, une équipe différente publie, toujours dans Nature, une nouvelle étude sur le système binaire LB-1 et arrive à la conclusion que ce trou noir n’existerait tout simplement pas…
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Retrouvez l’intégralité de cet article publié sur le site “ça se passe là-haut” le 01/05/2020 ici
Article publié le 03/12/2019
Découverte du plus gros trou noir stellaire de notre galaxie (Podcast)
Des chercheurs chinois ont découvert le plus gros trou noir stellaire de notre galaxie. Situé à environ 15 000 années-lumières de nous, il fait 68 masses solaires. Ces trous noirs se forment suite à l’effondrement d’une étoile massive sur elle-même. Son existence interroge les scientifiques car sa présence est en théorie “pratiquement impossible”. Le site ça se passe là-haut est revenu sur cette découverte dans un nouveau podcast.
Extrait : Un trou noir de 68 masses solaires vient d’être identifié dans notre galaxie grâce à la mesure de l’évolution de la vitesse d’une étoile qui lui tourne autour. La présence d’un tel trou noir aussi massif est difficilement explicable dans une galaxie comme la nôtre. Les chercheurs chinois à l’origine de cette découverte publient leur résultat dans Nature. On se souvient que les premières ondes gravitationnelles qui ont été détectées en septembre 2015 avaient signé la fusion de deux trous noirs de respectivement 29 et 36 masses solaires, qui avaient produit un trou noir résultant de 62 masses solaires. Mais cela se passait dans une galaxie lointaine…
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Retrouvez l’intégralité de cet article publié le 27/11/2019 sur le site “ça se passe là-haut” ici.